Collection Lesbiennes. Ma Belle-SœUr Me Dévoile Ma Bisexuelle (3/7)

Ma belle-sœur bouscule tous mes tabous et ils sont nombreux.
De la bisexualité qu’elle me fait découvrir dans un magnifique 69 sur notre lit dans la maison où s’est retiré Jacques mon beau-père après la mort de sa femme et sa retraite.
Jusqu’à la découverte de son secret, c’est une prostituée qui gagne sa vie dans la coiffure mais aussi dans des jeux sexuels avec ses clientes.
Nous emmenons les s à la plage et là encore elle m’entraîne sur celle des naturistes où je laisse mes s aller jouer nue dans les vaguelettes.
Six et cinq ans, je suis étonnée de les voir s’amuser dans le plus simple appareil.

- Tu vois, c’est facile, il suffit d’essayer.
Tu sais que la maison où Jacques habite c’est notre maison de vacances quand nous étions petits avec ton mari.

C’est drôle d’appeler son père Jacques et non pas papa.

- Un jour il nous a appris qu’il avait été prévenu que la maison était à vendre et comme maman commençait à aller mal, il l’a acheté en vue de sa retraite.
- C’est sympa pour les vacances.
- Ce n’est pas tout ça, mais si tu reste la chatte au soleil sans protection, le fistage pour ce soir ça sera galère.

Sans aucune pudeur, ce qu’elle semble ne pas avoir, elle sort de son sac de plage un flacon de crème solaire.
Elle en fait couler sur ses mains et commence à m’en enduire sur tout le corps.

- Retourne-toi.

Côté pile elle m’échauffe la belle-sœur allant même jusqu’à passer sa main entre mes cuisses.
C’est à ce moment que les deux bellâtres la queue pendante entre leurs jambes repassent devant nous.
Il passe en parlant entre eux, mais assez fort pour que nous les entendions.

- Merde deux gouines, pourtant la blonde était assez bandante.
- L’autre la brune m’aurait assez plus.

Et je les vois s’éloigner.
Deux fois dans l’après-midi, les mains expertes de Claudia caressent mon corps, je suis toute moite.


Quand nous retournons à la maison, je sens que je suis une autre femme.
Tout le repas, je suis anxieuse, Claudia va-t-elle me mettre la main entièrement dans ma chatte.
Je pourrais lui dire que je ne suis pas d’accord, mais depuis la nuit dernière, je sens que le poids que me fait subir ma belle-sœur est immense.
Mes s ont tellement joué dans l’eau que sans le moindre problème ils vont se coucher imités par beau-papa.

- Je vais dans mon coffre chercher une valise, je reviens.

Elle revient tirant derrière elle une valise à roulette.

- Voyons à quoi pourrions-nous jouer ce soir, aucune crainte Josy, la porte est fermée à clef.

Elle l’a posé sur la chaise près de notre lit et l’ouvre.

- Voyons à quoi pourrions-nous jouer.
- Les colliers de serrage sur tes seins pourquoi pas.
Tes allaitements les ont bien développés ça serait très efficace, mais il faut avoir une bonne dose de masochisme pour les accepter.
Mes clientes qui pratiquent ces colliers sont de vieilles salopes qui aiment que je les fasse souffrir.
- Comment ça marche, j’ignore tout de ces pratiques ?
- Tu vois je peux desserrer les colliers au calibre du sein que je veux traiter, comme ça.

Elle règle son collier à mon sein droit.

- Je le fais passer autour du globe et si je le serre il va comprimer tes chaires et empêcher le sang de l’alimenter, la douleur est intense, mais ces femmes savent dépasser leur douleur jusqu’au plaisir.

Elle enlève le collier de mon sein.

- Je veux essayer, il m’arrive de me caresser les seins, Franck les ignorant cherchant à retrouver la sensation que j’avais quand j’allaitais.
La bouche de mes s appuyant mes mamelons pour faire sortir mon lait m’apportait un bien-être quand ils seraient trop forts.

Une nouvelle fois, elle arrive à ses fins sans qu’elle m’impose les choses.
Le collier se ressert, c’est vrai j’ai mal mais c’est différent de la bouche posée sur mon mamelon.


- C’est assez pour une première fois.
- Encore un peu surtout le deuxième.

Mes seins sont comme des calebasses avec un étranglement.
Claudia a serré les colliers jusqu’à ce que le diamètre soit de 8 à 9 centimètres.
J’aime qu’elle me fasse mal et dire que c’est la sœur de mon mari.
Ils sont différents, Franck n’aurait jamais dans l’idée de me faire mal même dans le but de me donner du plaisir.
Rapidement, je ne sens plus mes seins, juste des fourmillements de plus en plus intenses.

- Allonge-toi, voyons si cette chatte est très extensible comme je le pense.

Mes seins martyrisés, elle en veut plus, elle prend une bouteille dans sa valise qui doit la suivre quand elle se prostitue.
C’est de l’huile peut-être de la Vaseline liquide.
Deux doigts, trois doigts, les cinq doigts.
Incroyable ça rentre comme dans du beurre.
Je suis appuyée sur mes oreillers, mon regard passe sur mes seins, j’ai de plus en plus mal, mais comme c’est Claudia qui m’impose ça, je serre les mâchoires pour ne pas hurler.
Passage sur ma toison blonde et ce que je découvre est extraordinaire ma chatte à absorber sa main.

Mal au sein, jouissance par mon vagin, j’ignorais être si large et les doigts touchant la partie haute, je jouis.

- Je caresse ton point G ma biche, tu ignorais que tu en avais un.
- Ah ! Ah ! Aaaaah !

Ce sont les seuls sons que j’émets si fort que lorsque je me réveille de la syncope qui a dû me frapper, la main est sortie de mon vagin qui bâille encore un peu.

- Attention Josy, il est temps que je t’enlève ces colliers, il faut de nouveau irriguer tes seins, ils commencent à devenir tous bleu, c’est là la seule limite que tu dois suivre.
J’ai une cliente, ce sont des colliers pour électriciens dont elle veut que je me serve.
Ils sont tellement serrés, qu’il faut que je me serve d’un petit couteau pour les faire sauter.

Je risque chaque fois de les couper, c’est pourquoi je me sers de collier que je peux serrer et desserrer à ma guise.

Elle tourne le système et je sens le sang commencer à circuler.
Avec lui, les douleurs.
Je peux comparer cette douleur aussi intense à celle que j’ai ressentie un jour où j’avais été surpris par la glace en montagne avec Franck en petite chaussure lorsque j’ai pris une douche pour me réchauffer de retour à l’hôtel.
Nous étions venus en week-end d’oxygénation, nous avions été servis.

Libérés, les nuits et les soirs se poursuivent, nous sommes vendredi.

- Jacques, j’aimerais emmener Josy au restaurant ce soir, peux-tu garder mes neveux ?
- Sans problème, allez-vous éclater.

Je retrouve sa voiture, nous sommes sorties comme prévu le lendemain de notre arrivée et j’ai largement changé une partie de ma garde-robe.
Comment Franck va-t-il accepter mon changement, on verra bien, je suis prête à assumer ?

- Qu’elle cuisine veux-tu manger.
Indien, kebab, régional ?
- J’aimerais manger Italien, je rêve d’un bon plat de pâtes.
- J’en connais à cent mètres d’ici.
Je connais très bien le patron, Émilio, un vrai Napolitain surtout dans les verbes.

Comme depuis le début des vacances, je suis ma belle-sœur.
Il est vrai qu’elle vient ici depuis son enfance alors que moi, bout rapporté de la famille, je découvre la région.

- Bella, très belles dames, vous allez être les étincelles de notre soirée.
Je vais vous choyer, Émilio va s’occuper de ces deux Bella filles.
Ma saison est déjà réussie.
- Émilio, tu sais que je t’aime bien, merci de nous acquérir avec toute la verve de ton pays, je te présente ma belle-sœur.
- Mon Dieu, mon Dieu, la femme de mon ami Franck, je savais que vous étiez belle, on m’a trompé, vous êtes bellissime.
Je vais vous mettre à la table d’honneur, vous serez le centre des regards de toute ma clientèle.


Nous nous installons, table plus que normale.
Claudia avait vu juste dans la verve d’Émilio.

- Je ne t’avais pas trompé, il est truculent, mais tu verras sa cuisine est à la hauteur de ce qu’il est.
Josy regarde à la table voisine, les deux bellâtres de la plage dans des costumes de grande qualité…

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